Les céréales utilisées pour fabriquer la bière, comme l'orge et le blé, sont cultivées avec des pesticides. Ces produits chimiques sont parmi les principaux perturbateurs endocriniens chez l'homme, car ils diminuent drastiquement les taux de testostérone et affectent la santé hormonale.

Ensuite, le gluten présent massivement dans la bière provoque des inflammations intestinales et des troubles digestifs, influençant ainsi indirectement les niveaux de testostérone.

L'alcool, principal composant de la bière, est hépatotoxique et diminue la production de testostérone tout en augmentant le cortisol, l'hormone du stress.

Enfin, les phytoestrogènes présents dans le houblon imitent les œstrogènes. Ces composés stimulent l'aromatase, une enzyme responsable de la transformation de la testostérone en œstrogène, ce qui entraîne une féminisation chez les hommes.

Dans notre société moderne, nous sommes constamment exposés à une multitude de perturbateurs hormonaux qui compromettent notre capacité à développer et à maintenir une masse musculaire optimale. Ces perturbateurs, notamment ceux présents dans la bière, interfèrent avec les voies de signalisation hormonale essentielles à la croissance musculaire. La testostérone, une hormone clé pour le développement musculaire, est particulièrement affectée. Les perturbations de la testostérone entraînent une diminution de la synthèse des protéines musculaires, une augmentation de la dégradation musculaire et une réduction de la capacité globale à gagner de la masse musculaire.

Ainsi, la consommation de bière représente un défi spécifique pour ceux qui cherchent à améliorer leur condition physique, car elle va à l'encontre même de l'objectif de prise de masse musculaire.